Sophie Davant s’est récemment confiée au sujet du cachet qu’elle touche sur France 2. Zoom sur ce témoignage inédit de l’animatrice d’Affaire conclue.
Sophie Davant s’est livrée cette semaine concernant son salaire, dans les colonnes de Libération. L’occasion pour la présentatrice d’Affaire conclue d’évoquer plusieurs sujets concernant sa vie professionnelle. On fait le point pour vous !
Sophie Davant se lâche lors de son interview
Après s’être livrée au sujet de sa vie amoureuse lors d’une entrevue pour Gala, Sophie Davant a fait des confidences concernant sa vie professionnelle. Depuis qu’elle présente le magazine d’enchères de France 2, l’animatrice est devenue une icône emblématique de France Télévisions. Mais à part Affaire conclue, elle anime également des émissions en prime à l’instar du Téléthon.
Lors de son entretien avec l’équipe de Libération, la jolie blonde de 58 ans souligne qu’elle n’a pas la « fibre entrepreneuriale ». Ce qui, selon elle, explique le fait qu’elle n’ait jamais produit de programmes télévisés. Néanmoins, la mère de Valentine et Nicolas estime bien gagner sa vie. Comme elle le souligne : « Je sais ce que vaut l’argent. Je le dépense en shopping, pour aller au resto avec des amis, pour les vacances à la plage ». Et la mère de famille de préciser : « Cela me rend la vie douce, mais je ne flambe pas ».
Une augmentation refusée
Sophie Davant raconte qu’elle avait déjà essuyé un refus d’augmentation de salaire à l’époque où elle était mariée à Pierre Sled. « J’ai entendu un cadre de France 2 me dire une fois, alors que j’avais demandé une augmentation, que mon époux était suffisamment bien payé. Cela m’avait outrée », s’est souvenue la mère de famille. Et cette dernière d’ajouter : « Aujourd’hui, je pense que c’est le genre de remarque qu’on entendrait plus ».
Néanmoins, l’acolyte de Caroline Margeridon avoue qu’il n’est pas évident de faire une telle requête. « En tant que femme, on a peur de demander (…) On ne vient pas vous proposer une augmentation comme ça. On a beaucoup de choses à gérer, entre la vie familiale, les enfants, la maison… Ce n’est pas forcément une priorité », a-t-elle expliqué, convaincue que « les hommes se posent moins de questions ».